Actualité école
exposition
dans le cadre de la programmation de l'Evénement Photographique #3
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Vous avez dit régénérer ? Un projet d'urgence en Afghanistan : les leçons de l'architecture vernaculaire
LUN. 7 AVRIL / 18H
L'architecture vernaculaire nous fournit des leçons à la fois universelles et profondément locales pour aborder l'architecture d'aujourd'hui. Et si nous l'observions comme un processus et non comme un modèle à répliquer ? Voir l'architecture vernaculaire non comme finalité mais comme instrument d'une vocation qui vise à régénérer les écosystèmes avec lesquels elle coopère, qu'ils soient humains ou non humains, et cela en tout temps et en tout lieu ?
Le néo-vernaculaire questionne sur un engouement pour un modèle dont la force consiste justement dans sa non-répliquabilité.
Et le rôle de l'architecte dans tout cela ? Rendre l'architecture aux gens et aux lieux… N'est-ce pas là le véritable enjeu ?
Cette conférence open class s'inscrit dans le cadre des Rencontres interdisciplinaires Mutations "Vulnérable habité. Penser ensemble les incertitudes éco-systémiques, les vulnérabilités sociales, les précarités économiques et les instabilités politiques dans les pratiques architecturales".Corine et Jean-François Mermillod travaillent ensemble depuis 2005 en tant qu'architecte bioclimatique, éco-designer et consultants Feng Shui, avec à leur actif des réalisations dans les domaines de l'architecture de maisons individuelles, de structures touristiques, de lieux de culte et d'habitats partagés, plusieurs fois primés.
Ils co-écrivent quatre ouvrages consacrés à l'application professionnelle des principes du Feng Shui et parcourent le monde pendant plus de 15 ans pour rencontrer et former les nouveaux acteurs d'un monde en mutation, architectes, urbanistes, designers, artistes et thérapeutes, sur quatre continents.
Corine Mermillod a été consultante de l'Unesco dans le sud du Maroc pour la réhabilitation des «300 Kasbahs du Sud » de 1990 à 1991, élue au Conseil de l'Ordre des architectes de la région Rhône-Alpes pendant 6 ans en 1998, membre du Conseil puis du Comité consultatif français de l'Union Internationale des Architectes de 1998 à 2004, vice-présidente, puis chargée de mission pour la Fondation des Architectes de l'Urgence et responsable de la reconstruction de 5000 logements en Afghanistan en 2003.
Depuis 2019, Corine Mermillod enrichit sa pratique architecturale d'une approche régénérative de projet, enseignée par Regenesis Institute aux États-Unis, et ils fondent ARCHIDOERS, un cabinet d'architecture et de conseil en design et développement régénératif à Annecy et en Suisse romande.
Aujourd'hui, elle enseigne la pratique régénérative dans plusieurs universités et participe au développement de l'enseignement de l'Institut Regenesis pour les communautés francophones.
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Contradictions !
MAR. 1er AVRIL / 18H
"Depuis 70 ans, notre société n'a jamais autant construit de m2, ni consommé autant de matières. En France, le parc existant actuel est constitué de 37 millions de Logements et de 1 Milliards de m2 réservés aux activités (Universités, commerces, bureaux, équipements, etc…..). Des millions d'hectares de terres sont artificialisées et chaque jour nous dévorons toujours un peu plus notre territoire. Jamais, nous n'avons autant transformé, façonné, transportés, tous ces matériaux extraits de nos sols. En portant un regard différent, en considérant tout se patrimoine bâti comme une ressource essentielle, que nous pouvons réutiliser, réemployer, en imaginant d'autres futurs à toutes ces constructions, même les plus modestes, nous pensons que nous serons en mesure d'agir et même susceptibles de participer, parmi d'autres, à cet urgent et indispensable effort d'inflexion d'orientation de notre monde.
La capacité de récupération de toute forme d'architecture, ne pas la détruire, pouvoir la faire survivre grâce à une nouvelle utilisation nous semble être, aujourd'hui, un des principaux enjeux de notre discipline. C'est la question de faire avec ce qui est là, ce qui existe, d'en considérer l'existence, d'envisager en préalable à toute action sa ré-utilisation. Cette stratégie, qui englobe à la fois les expériences menées à l'échelle d'un territoire dans la Ruhr avec l'Emscher Park, comme les transformations de grands ensembles de logements menées par exemple par Lacaton et Vassal, c'est celle de considérer d'abord le potentiel de ce qui existe avant d'en programmer la destruction et l'éventuelle substitution. Réutiliser les structures bâties, mais aussi les matériaux, les adapter, les bricoler, les transformer, utiliser la matière présente, c'est une autre approche de la durabilité, c'est ne pas produire à nouveau et participer à la surabondance générée par la société de consommation, c'est détourner et transfigurer l'obsolescence."
"Nous avons travaillé il y a quelques années, sur le potentiel de transformation de ce que nous avions appelé dans le cadre d'une exposition qui se tint au Pavillon de l'Arsenal en 2018 les « Immeubles pour automobiles ».
L'exercice que nous avions mené, en parallèle d'une étude historique et d'un inventaire parisien de ces immeubles d'un type un peu particulier, consistait en l'étude comparative autour de quelques grands archétypes de parkings en superstructure d'un scénario de transformation vs. un scénario de démolition/reconstruction.
Outre les évidentes vertus « économiques » de la transformation, de matière et d'énergie principalement, la nécessité fondamentale de considérer en premier lieu ce qui est déjà-la comme préalable à toute autre forme d'action, cette étude nous a plus généralement confortés dans des intuitions que nous avions déjà, convaincus de l'infini potentiel de la réutilisation et du formidables terrain d'expérimentation que représente ces millions de m2 déjà la.
Plus largement, si nous articulons cette étude avec une décennie de pratique, nous en avons tiré les enseignements suivants :
Nous avons aujourd'hui, à supporter l'héritage du poids carbone de toutes ces constructions existantes (l'énergie et la matière qu'il a fallu pour les produire), nous avons donc un passif !
L'application d'une pensée constructive basée sur une logique de fabrication rationnelle et « essentielle » dans ses moyens, sans artifice, retarde l'obsolescence des structures et permet d'envisager facilement plusieurs vies pour les bâtiments, et aujourd'hui nous nous devons d'être économes.
L'existant est un système complexe, souvent composite, singulier, ses qualités doivent être finement inventoriées pour en déterminer le potentiel, nous devons donc intervenir avec le maximum de retenue, de légèreté et de précision. Il favorise les savoirs faire et laisse moins de place à l'industrialisation.
Le système de contraintes de l'existant constitue un formidable terrain de jeu et d'expérimentation pour les architectes, qui autorise le « non-standard » en particulier typologique et nous pouvons de nouveau inventer."
Bâtiments essentiels - Nous cherchons à concevoir des projets spécifiques, adaptés à leurs usages et fonctions, caractérisés par la simplicité de leur géométrie et de leurs dispositifs, et dont les principes reposent sur une forme d'analyse « objective » des contextes – environnement(s) (site, programme, utilisateurs, climats).
Bâtiments durables - Notre approche de la « durabilité » en architecture ne se veut pas technique ou normative, elle se transcrit plutôt par une recherche d'économie de moyens et une préoccupation constructive liée à l'évolutivité et la capacité de transformation des bâtiments.
Combinaison de ces deux paradigmes, la conception s'apparente ainsi chez nous à une réduction perpétuelle du projet à ses fondamentaux, sans superflu. Élément par essence non réductible, la structure est pensée comme capable, génératrice, les bâtiments opérant alors à la manière d'infrastructures ouvertes et potentielles.
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Garden, Palace, Ruin, Machine, Shed, Network
MAR. 11 MARS / 18H
L'école d'architecture de Nancy reçoit l'architecte Philipp Esch qui présentera son projet de transformation d'un entrepôt en immeuble d'habitation collectif, projet lauréat dans la catégorie "rénovation" du Prix européen pour le Logement collectif 2024.
Le projet du Studio Esch Rickenbacher Architektur est la conversion d'un ancien chai à vin en habitat à Bâle en Suisse, sélectionné pour « démontrer que la transformation de l'existant crée une qualité de logement nouvelle et inattendue qui défie les typologies standards.
Le jury du Prix européen pour le Logement collectif, présidé par Anne Lacaton (Prix Pritzker 2021) estime que ce projet démontre que les bâtiments ordinaires et utilitaires ont de la valeur et peuvent soutenir de nouveaux projets créatifs qui apportent quelque chose de positif au quartier et à la ville.
Cela apporte non seulement de la qualité, mais aussi une durée de vie supplémentaire. Il est durable grâce à la réutilisation de la structure en béton existante, qui doit absolument être prise en compte dans le bilan carbone. Cette structure existante est complétée par une nouvelle construction qui densifie et donne une nouvelle identité et une nouvelle vie au site. En termes d'architecture, il montre une nouvelle façon de vivre et l'imagination nécessaire pour réinventer une structure existante. Il démontre que la transformation de l'existant crée une qualité d'habitat nouvelle et inattendue qui défie les typologies standards. En termes d'infrastructure collective du bâtiment, il dispose d'espaces collectifs qui célèbrent et facilitent la vie en communauté.Philipp Esch a étudié à l'École Polytechnique Fédérale de Zurich puis au Centre for Environmental Planning and Technology de Ahmedabad en Inde jusqu'en 1992.
De 1994 à 1997, Philipp Esch oeuvre chez Moger Degelo Architekten à Bâle et dans l'agence HPP Hentrich Petshnigg Partner à Berlin. Il devient en 1997 l'assistant de Meinrad Morgen et Martin Boesch à l'École Polytechnique Fédérale de Zurich et de Lausanne jusqu'en 2002.
Philippe Esch occupe le poste de rédacteur et éditeur à partir 2004 pour la revue "Werk, Bauen + Wohnen" et devient dès 2008 enseignant à la Haute École de Lucerne (Lucerne University of Applied Sciences and Arts) puis fonde le Studio Esch Sintzel Architekten avec Steven Sintzel, ils sont rejoints par Marco Rickenbacher en 2021.
De 2016 à 2023, Philipp Esch devient membre du groupe d'experts en urbanisme de Winterthur, et depuis 2021 il est professeur invité à l'Académie d'Architecture de Mendrisio.
Pour en savoir +
Les lauréats du Prix européen pour le Logement collectif 2024
(European Collective Housing Award)
Actualité LHAC
Apprendre et concevoir avec les patrimoines
Présentation de l'ouvrage et interview
Apprendre et concevoir avec les patrimoines
Hakima El Kaddioui, Aurélie Husson (dir.) et Lucile Pierron (dir)
éditions Building Books 2024
Actualité école
Une pratique engagée et hyperlocale
MAR. 25 FEV. / 18H
En créant la coopérative Grand Huit, Marine Kerboua, Clara Simay et Julia Turpin scellaient un engagement au long court pour une architecture qui prend soin de la nature et des humains.
L'agence Grand Huit est une Scop d'architecture, une société coopérative et participative dont le capital est majoritairement détenu par le salariés. Fortement ancrées dans une démarche territoriale, chacune de leurs interventions porte des modèles durables et solidaires qui valorisent les ressources et les acteurs locaux. La coopérative Grand Huit est également actrice du déploiement des filières franciliennes biosourcées et du réemploi de matériaux.L'intervention de Julia Turpin abordera l'implication de la coopérative Grand Huit pour une démarche à fort impact social et faible impact environnemental à travers leur méthodologie qui consiste à partir des ressources humaines et matérielles d'un territoire pour faire émerger une réponse créative et frugale à un besoin singulier.
Julia Turpin présentera leur manière d'aborder l'architecture comme un acte culturel et social qui doit être partagé. Notamment le temps physique du chantier comme moment privilégié pour projeter ensemble et joyeusement l'écosystème local, durable, désirable et inclusif de demain.
En savoir +
L'architecture hyperlocale selon l'agence Grand Huit - Le Monde (03/01/2023)
Portrait et projets sur AMC (14/04/2020)
Actualités Etudes
VEN. 24 JAN. 2025
ENSA Nancy
Actualité école
Héloïse Roy
Lauréate 2024
Actualité école
Agathe Toussaint
Lauréate 2024
Domaine Architecture Ingénierie Environnement (AIE) / Atelier architecture frugale et créative III
Enseignants : Caroline Leloup, Marc De Fouquet
La ville de Charmes s'est notamment démarquée par son récent programme de redynamisation et de réaménagement dans le cadre du plan des Petites Villes de Demain (PVD). Cela représente un ensemble de projets à promouvoir, dans une perspective de revitalisation viable et vertueuse de la commune. Travailler sur la rénovation de l'établissement scolaire Henri Breton est l'opportunité d'interroger les modèles éducatifs. La rénovation et réadaptation des écoles est un sujet auquel les architectes vont être de plus en plus confrontés. Agathe Toussaint a souhaité répondre à la nécessité croissante des communes à mieux adapter leur patrimoine au climat et à repenser les modes pédagogiques à travers l'espace, enjeu tout aussi primordial. Sa problématique est la suivante : comment proposer de meilleurs espaces d'apprentissage tout en garantissant des performances énergétiques et environnementales à l'école Henri Breton ? Et plus généralement : comment redynamiser une ville à la population vieillissante à travers ses établissements scolaires ? Son étude s'inscrit dans une approche frugale où l'on considère que l'on réhabilite autant que possible l'existant et densifie les parcelles déjà urbanisées en mutualisant les programmes, permettant alors de limiter l'artificialisation des sols.
Actualité école
MER. 4 DÉC. 2024 / 9H
ENSA Paris-La-Vilette Sites Ardennes
Actualité Recherche
28 et 29 NOV 2024
Intervention de Lucile Pierron, enseignante à l'ENSA Nancy
A l'occasion du 150e anniversaire de la naissance et du 70e anniversaire du décès d'Auguste Perret (architecte dont l'oeuvre majeure : la reconstruction de la ville du Havre, figure sur la liste du Patrimoine mondial de l'Unesco), la fondation Auguste Perret – Académie des beaux-arts souhaite lui rendre hommage avec un colloque international.
Cet événement doit permettre de dresser l'actualité des réflexions historiques et patrimoniales sur la pensée et l'oeuvre de l'architecte.
Le colloque se déroulera sur deux journées, le jeudi 28 novembre au Palais de l'Institut de France (Auditorium André et Liliane Bettencourt) et le vendredi 29 novembre au Palais d'Iéna, siège du Conseil économique social et environnemental.
Lucile Pierron, enseignante à l'ENSA Nancy et chercheuse au LHAC, communiquera le 28 novembre sur le thème :
Programme complet et inscription gratuite dans la limite des places disponibles
Actualité école
L'architecte et son milieu
MAR. 10 DEC. / 18H
Gaël Huitorel et Alexandre Morais sont architectes et maîtres de conférences. Gaël Huitorel est maître de conférences TPCAU à l'école nationale supérieure d'architecture de Bretagne et docteur en architecture. Alexandre Morais est maître de conférences TPCAU à l'école nationale supérieure d'architecture de Nantes et formateur Pro-Paille.
Ils engagent tous les deux leurs étudiants dans la conception d'édifices bas-carbone et dans les transformations de situations préexistantes, tout en interrogeant les conditions actuelles de production. Parallèlement à cette activité, ils fondent en 2016 l'atelier Huitorel & Morais architectes, situé entre Rennes et Nantes, où ils investissent les dimensions territoriales, sociales et constructives des intervalles ville-campagne.
Leur production architecturale a été récompensée à travers plusieurs distinctions, notamment le Prix d'Architectures et l'Équerre d'Argent – Prix de la Première Œuvre avec l'école maternelle à La Selle-Craonaise, conçue pour la Mairie de La Selle-Craonaise
Actualité école
L'existant en architecture : comprendre et intervenir
MAR. 26 NOV. 14H / Amphi A
Actualité école
projection débat mardi 19 nov 18h
avec Romain Rousseau Perin, architecte enseignant
à l'école d'architecture de Nancy
mardi 19 nov 18h amphi A
de Beka & Lemoine . 2017 . 1h03
INTERVENANT : Romain Rousseaux Perin, architecte, docteur en sociologie, illustrateur et auteur de bandes dessinées, et Maître de conférences associé à l'ENSA Nancy (voir p6 du programme)
>> A savoir également, Federico Diodato, architecte-urbaniste, docteur en architecture, Maître de conférences à l'ENSA Nancy et enseignant à l'Université de Bologne interviendra le 21 novembre au Klub à Metz lors de la projection de Parasite (voir p9 du programme)
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En 2024, le 10e festival du film d'architecture célèbre une thématique aussi fascinante qu'essentielle : le son.
En tant qu'élément constitutif de l'architecture, le son ne se contente pas de traverser les espaces, il les façonne. Il est au coeur du cinéma, capable d'envahir, de remplir et même de créer des espaces.
Chaque bruit, chaque silence, chaque écho peut donner vie à un lieu, révéler son essence. Les espaces peuvent aussi parler d'eux-mêmes par les sons qui les habitent, qu'il s'agisse de la résonance d'un environnement urbain ou du murmure méditatif d'un lieu contemplatif. Des réalisateurs ont su capturer le son, invisible mais puissant, qui construit et transforme l'architecture dans nos imaginaires… mais aussi dans nos vies.
Télécharger le programme complet
conférences 2024-2025
Architecture, ontologie et signification: pourquoi restaurer Notre-Dame ?
MAR. 3 DEC./ 18H
Lors de la récente restauration de Notre-Dame, la principale question aura été de savoir comment faire cette restauration. La question de savoir pourquoi la restaurer n'aura que rarement été posée. Elle suppose de s'interroger sur la nature d'une oeuvre architecturale.
Qu'est-ce que Notre-Dame ? Un monument historique, un haut-lieu de la nation, un site touristique, un élément urbain du Grand Paris ? « Restaurer à l'identique » , peut-être, mais identique à quoi ? Pourquoi Notre-Dame veut-elle dire quelque chose pour nous, et que signifie-t-elle ? Est-ce seulement la question de ce qu'elle est ou aussi de ce que nous sommes, de nos capacités à comprendre ce qu'elle est ? La question de savoir pourquoi restaurer Notre-Dame suppose alors de se demander pourquoi Notre-Dame existe. La réponse que c'est « pour la plus grande gloire de Dieu » pourrait-elle être la bonne ?Roger Pouivet est professeur émérite de philosophie à l'Université de Lorraine et membre honoraire de l'Institut universitaire de France. Il est actuellement professeur invité à l'Université Catholique de Louvain, à la Faculté de Théologie.
Il est l'ancien directeur des Archives Henri-Poincaré - Philosophie et Recherches sur les Sciences et les Technologies (UMR 7117, CNRS), dont il est toujours membre. Il a enseigné comme professeur Erasmus à l'Université d'Islande (Reykjavik), à l'université Nicolas Copernic de Torun (Pologne). Il a été James Collins Visiting Professor à Saint Louis University (Missouri) en 2014.
Roger Pouivet est co-directeur de la collection "Chemins philosophiques", et co-directeur de la collection "Aesthetica". Il a été l'éditeur pour la France de l'European Journal for Philosophy of Religion et il est membre de l'editorial board de New Blackfriars.